Jules Renard, Journal.
12 septembre 1901. “Dans ma tasse, le café ne reflète que mes idées noires.”
1er octobre 1903 . “Avec l’orage qui s’éloigne, Dieu s’en va.
Les paysans sont contents : il vont pouvoir emblaver “mou”. Le temps a mal au coeur.
Les arbres, d’abord immobiles, anxieux, s’agitent bientôt de joie sous la bonne pluie désaltérante.
Sur le mur d’en face je vois une clarté : c’est la petite aube du soleil qui va reparaître. ”